Escalade dans le Verdon, voie : "Fièvre Résurrectionnelle"
Cotation :
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Approche 30min
Du refuge de la Maline, descendre par le sentier Blanc-Martel, passer un premier petit escalier métallique. Au 2e escalier du Belvédère, en fer (bien plus grand) continuer encore deux épingles et 30 m avant la 3e épingle (à droite) sortir du chemin à gauche, pour longer la falaise. Sente peu marquée, en ascendance droite, mais cairnée qui vient d'elle-même mourir au départ de la voie qui se situe sur le flanc gauche d'un pilier vermoulu. Plaquettes couleur "argent" en diagonale à droite. Nom en rouge
Au départ, sur le magnifique sentier Martel, la paroi est à l'ombre jusqu'à 11h environ.
L1 5b grande longueur de 45m, où il faut être attentif sur la solidité du rocher et les pierres sur les vitres.
L2 6a un pas avec un rétablissement sur un bombé.
L3 5c longueur courte sur une dalle avec des gouttes d'eau.
L4 5c+ traversée sur des gouttes d'eau, magnifique
L5 6a+ dalle technique suivi d'un surplomb sur bonnes prises en ascendance gauche. Traversée horizontale après le surplomb.
La traversée en L4le retour
Après L5 , 3 possibilités.
Soit continuer à grimper par la première voie à droite, 6c.
Soit la seconde 30m plus loin 6b
Soit continuer le chemin pour prendre une VIA Cordata et arriver au sommet.
Prendre le sentier main gauche, et repérer la sente montant en diagonale gauche jonchée de Cairn.
Arrivé sur la route descente 1km jusqu'à la Malines.
Après une belle journée d'Escalade, une idée d'un restaurant sympa, excellent rapport qualité/prix :
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1/ Informations communes à tous les sports et activités de pleine nature
• Notions d’environnement et d’activités à risques :
Les sports de pleine nature sont des activités enthousiasmantes et enrichissantes mais comportant des
risques liés au milieu naturel (aléas météorologiques, obstacles et mouvements de terrain, éboulements,
chutes, etc.) ainsi que de risques intrinsèques à chaque activité sportive (qui varient de « bénins » à « forts »
selon le niveau et le type des pratiques concernées).
Ces risques sont plus particulièrement élevés dans certains sports dits «en environnement
spécifique » (haute montagne, ski de montagne, escalade en terrain d’aventure, spéléologie, canyoning,
kayak de rivière au-delà de classe 3, plongée sous-marine, etc.) – où le recours à un encadrement
professionnel hautement qualifié est fortement conseillé.
• Limite de responsabilité de l’encadrant :
Le rôle premier du guide ou moniteur est de réduire les risques, sans pouvoir prétendre les supprimer
totalement. Cette part de risque incompressible, concomitante à toute évolution en milieu naturel et à toute
notion d’aventure, peut être la source de situations d’inconfort, de désagréments, d’incidents voire
d’accidents, liés aux caractéristiques propres de l’activité et/ou à son milieu naturel d’exercice,
indépendamment de toute faute de l’encadrant. Cette dimension particulière doit être prise en compte
avant de contracter avec un encadrant professionnel ; le pratiquant doit ainsi assumer en connaissance de
cause sa propre part de responsabilité dans la décision de s’engager dans une activité et un environnement
naturel dont il ne peut raisonnablement ignorer les risques objectifs qui leur sont inhérents.
• Précautions et devoirs du pratiquant vis-à-vis des professionnels encadrants et du groupe :
Préalablement à toute activité, il est essentiel :
- que le pratiquant informe ses guides ou moniteurs de son profil physique, psychologique et technique et
des éventuelles précautions, restrictions et contre-indications qui en découleraient au regard de la pratique
sportive (par le biais d’une fiche de renseignements fournie ou de tout autre moyen d’information adapté)
- de bien prendre connaissance des diverses informations fournies par les professionnels encadrants pour
s’équiper et se préparer au mieux.
Lors des activités sur le terrain, pour ne pas compromettre sa propre sécurité et celle du groupe, il est
crucial :
- de se présenter avec l’équipement préconisé (si non fourni par l’encadrement)
- de respecter les consignes des guides ou moniteurs
- et de ne pas hésiter à demander de les préciser, au moindre doute.
De la Palud, prendre la route des Crêtes en direction du Chalet des Malines.
Se garer au premier belvédère, le Baou Beni (IGN), à 4 km de la Palud.
Remonter la route direction la Palud sur environ 100 m jusqu'au gros
virage. Descendre en suivant les cairns jusqu’à la main courante de
l’échappatoire du canyon de Main Morte. Descendre le mur (environ
100 m). Longes conseillées, vérifier l'état des cordes en descendant.
Arrivé au pied, prendre la sente longeant le pied de
falaise. Après 40/50 m, un cairn indique un petit sentier jusqu'au départ.